Lux Mundi crée des ponts entre l’art populaire alternatif – issu de la bande dessinée, du tatouage et de la culture urbaine – et l’art sacré chrétien, catholique et orthodoxe.
Les expositions Lux Mundi ont des vocations diverses selon les lieux.
Dans un espace de coworking au côté d’artistes-tatoueurs, Lux Mundi propose un accès à la foi vivante de l’Église à travers des codes graphiques contemporains. Dans une chapelle, au sein d’une cathédrale, Lux Mundi suscitera une réflexion sur la symbolique chrétienne ouverte sur le monde, et sur l’altérité orthodoxe dans une même communion au Dieu trinitaire.
Derrière Lux Mundi se cache Rael-Miguel, converti à la foi catholique à l’âge de 30 ans. Lors de conférences, ou durant le vernissage de ses expositions, il partage son témoignage à propos de la rupture de la transmission de la foi dans sa famille, de son cheminement spirituel et de sa conversion, de la genèse de ses travaux graphiques, ainsi que de sa vision sur l’unité entre catholiques et orthodoxes.
